Recherche par lecteur : Jean-Pierre Schamber
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Lu par : Jean-Pierre Schamber
Durée : 24h. 59min.
Genre littéraire : Policier/épouvante
Numéro du livre : 23706
Résumé:"A circonstances exceptionnelles, mesures exceptionnelles." Le colonel Montana leva le nez pour observer le ciel qui s'assombrissait. "Croyez-moi, lorsque nous avons évoqué les retombées éventuelles de l'utilisation de la petite saloperie qui se balade dans la nature... Il ne s'agit pas seulement de sauver quelques vies humaines, Charles, mais de préserver notre crédibilité, notre influence internationale ainsi que des pans entiers de nos complexes militaro-industriel et pétrochimique. Nous ne pouvons pas nous permettre que des informations sur l'existence et la circulation de ces armes s'ébruitent . Et encore moins que celles-ci soient utilisées dans le cadre d'une action terroriste. Surtout avec ce qui vient de se passer à New York et à moins d'un an des présidentielles..."
Lu par : Jean-Pierre Schamber
Durée : 14h. 50min.
Genre littéraire : Théâtre
Numéro du livre : 26744
Résumé:« Je n'ai pas de biographie et j'en suis très content », écrivait Jean Anouilh à Hubert Gignoux en 1946. Pour Pol Vandromme, « le théâtre d'Anouilh, plein d'aveux indirects et d'ombres complices, suggère ce qu'il s'est refusé à dire à haute voix et en pleine lumière ». C'est cette mise au jour qu'entreprend ici Anca Visdei, à l'aide de la correspondance, parfois inédite, d'Anouilh, de leurs entretiens, des souvenirs recueillis auprès de ses proches et de ceux qui ont travaillé avec lui. Né à Bordeaux en 1910, très tôt passionné de théâtre - Les Mariés de la tour Eiffel de Jean Cocteau en 1921 et Siegfried de Giraudoux en 1928 seront pour lui des révélations -, Jean Anouilh devient secrétaire de Louis Jouvet. Celui-ci refusant de monter ses pièces, il a la chance de rencontrer Pierre Fresnay, avec lequel il connaît un premier succès d'estime - L'Hermine en 1932 -, et le metteur en scène et comédien Georges Pitoëff qui lui offrira son premier véritable succès avec Le Voyageur sans bagage... C'est aussi en 1937 qu'Anouilh fait la connaissance d'André Barsacq, et ce sera le début d'une grande amitié et d'une longue collaboration au Théâtre de l'Atelier, où sera créée en 1944 Antigone, qui n'a jamais cessé depuis cette date de figurer dans les programmes scolaires. Après la guerre, il travaille entre autres avec Roland Piétri, Denis Malclès, et sera joué par les plus grands comédiens français et étrangers. Parmi ses principales pièces : L'Invitation au château, L'Alouette, Pauvre Bitos, Becket. Il défend Ionesco et Beckett, adapte des pièces de Shakespeare et Oscar Wilde, réalise deux films et écrit les dialogues d'une dizaine d'autres.
Lu par : Jean-Pierre Schamber
Durée : 24h.
Genre littéraire : Roman historique/biographique
Numéro du livre : 21443
Résumé:Rome, 1600. Un jeune peintre inconnu débarque dans la capitale et, en quelques tableaux d'une puissance et d'un érotisme inouïs, révolutionne la peinture. Réalisme, cruauté, clair-obscur : il bouscule trois cents ans de tradition artistique. Les cardinaux le protègent, les princes le courtisent. Il devient, sous le pseudonyme de Caravage, le peintre officiel de l'Eglise. Mais voilà : c'est un marginal-né, un violent, un asocial, l'idée même de " faire carrière " lui répugne. Au mépris des lois, il aime à la passion les garçons, surtout les mauvais garçons, les voyous. Il aime se bagarrer, aussi habile à l'épée que virtuose du pinceau. Condamné à mort pour avoir tué un homme, il s'enfuit, erre entre Naples, Malte, la Sicile, provoque de nouveaux scandales, meurt à trente-huit ans sur une plage au nord de Rome. Assassiné ? Sans doute. Par qui ? On ne sait. Pourquoi ? Tout est mystérieux dans cette vie et dans cette mort. Il fallait un romancier pour ressusciter, outre cette époque fabuleuse de la Rome baroque, un tempérament hors normes sur lequel on ne sait rien de sûr, sauf qu'il a été un génie absolu, un des plus grands peintres de tous les temps.
Lu par : Jean-Pierre Schamber
Durée : 14h. 32min.
Genre littéraire : Policier/épouvante
Numéro du livre : 23715
Résumé:Retiré dans une grande maison délabrée du Suffolk, face à la mer, Tim, hanté par un terrible fantôme, rédige son histoire. Trois ans plus tôt, ce jeune homme sensible et talentueux, qu?on disait promis à un bel avenir d?écrivain, a connu la passion avec Ivo, un homme plus âgé que lui. Mais, au cours d?un voyage en Alaska, une femme a surgi. L?amour s?est transformé en haine, en horreur, et, profitant d?un naufrage accidentel, Tim a commis l?irréparable.Qui lui expédie à présent ces lettres anonymes, relatant l?histoire de naufragés échoués sur une île déserte ? Qui est véritablement Isabel Winwood, auprès de qui il a brièvement entrevu le véritable amour, avant qu?elle ne disparaisse de sa vie ?Reine du suspense, habile à montrer comment la violence criminelle peut jaillir à tout instant des passions humaines, la romancière du Journal d?Asta et de Simisola nous entraîne dans une énigme angoissante. Elle nous offre aussi le portrait ? fascinant, inoubliable ? d?un tout jeune homme, désespéré, enfermé dans les ombres d?un passé tragique.
Lu par : Jean-Pierre Schamber
Durée : 22h. 22min.
Genre littéraire : Psychologie/médecine
Numéro du livre : 24430
Résumé:Michel Onfray, cohérent avec lui-même, s'en prend ici à une religion qui, bien plus que les monothéismes qu'il pourfendait dans son Traité d'athéologie, semble avoir encore de beaux jours devant elle. Cette religion, c'est la psychanalyse - et, plus particulièrement, le freudisme. Son idée est simple, radicale, brutale : Freud a voulu bâtir une « science », et il n'y est pas parvenu; il a voulu « prouver » que l'inconscient avait ses lois, sa logique intrinséque, ses protocoles expérimentaux - mais, hélas, il a un peu (beaucoup ?) menti pour se parer des emblèmes de la scientificité. Cela méritait bien une contre-expertise. Tel est l'objet de ce travail. Avec rigueur, avec une patience d'archiviste, Michel Onfray a donc repris, depuis le début, les textes sacrés de cette nouvelle église. Et, sans redouter l'opprobre qu'il suscitera, les confronte aux témoignages, aux contradictions, aux correspondances. A l'arrivée, le bilan est terrible : la psychanalyse, selon Onfray, ne serait qu'une dépendance de la psychologie, de la littérature, de la philosophie - mais, en aucun cas, la science « dure » à laquelle aspirait son fondateur. On sera, devant une telle somme, un peu médusé : Freud n'en ressort pas à son avantage. Et encore moins sa postérité qui aura beau jeu de prétendre que si Michel Onfray conteste si violemment la religiosité en vogue chez les archéologues de l'inconscient, ce serait précisément parce qu'il craindrait de contempler le sien. Une « ouverture » biographique, semblable à celle qui précède chacun de ces essais, devance cette objection en racontant comment et pourquoi Michel Onfray a découvert - en vain - cette « science de l'âme » qui n'en est pas une.